Presse : Dreams

A propos de l’album :

« Le premier CD d’Aparté réunit des transcriptions pour violoncelle et orchestre (de Fauré à Puccini, de Bellini à Satie) sous l’archet d’Ophélie Gaillard. Dans Dreams, bouquet de mélodies immortelles joliment enlevées, elle est servie par le Royal Philarmonic Orchestra et Timothy Redmond. »
Diapason, novembre 2009

« Pour l’une des premières sorties du très prometteur label Aparté, la violoncelliste Ophélie Gaillard interprète des chefs d’œuvres retranscrits par Craig Leon. Sous le charme de l’instrument, dont la sonorité chaleureuse est si proche de la voix humaine, on en viendrait presque à oublier les versions originales. »
Direct Matin, novembre 2009

« Le titre résume la teneur de l’ouvrage. Dreams est une illusion, presque une utopie : la rencontre d’un producteur à succès de la pop, Craig Leon, avec l’une de nos jeunes violoncellistes les plus fines, la pluridisciplinaire Ophélie Gaillard. Ensemble, ils revisitent les plus beaux airs du répertoire, les plus envoutants aussi, arrangés pour violoncelle solo et… orchestre philharmonique. »
La Vie, novembre 2009

« Une invitation à la rêverie, fruit de la rencontre entre le producteur Craig Leon et la violoncelliste franco-suisse Ophélie Gaillard. De Debussy à Satie en passant par Fauré, Chopin et l’opré italien, pièces et mélodies prennent toute leur dimension dans des arrangements inédits pour violoncelle et orchestre. L’interprétation exceptionnelle de la soliste et du Royal Philharmonic Orchestra invite à un songe musical enchanteur accessible à tous. »
Ouest France, novembre 2009

« Première pépite du label Aparté, l’album Dreams, de la violoncelliste Ophélie Gaillard, qui interprète un florilège de morceaux célèbres, retranscrits par le producteur pop Craig Leon, pour cet instrument au timbre proche de la voix humaine. »
Direct soir, novembre 2009

« Dreams, ce sont les rêves d’un violoncelle qu’Ophélie Gaillard fait chanter sur des transcriptions réalisées avec le Royal Philharmonic Orchestra. On retrouve avec plaisir des airs familiers de Chopin, Fauré ou Grieg. Et dans Le Chant à la lune de Dvorak ou La Furtiva Lagrima, la ressemblance entre le violoncelle et la voix humaine se fait plus troublante que jamais. »
Point de vue, novembre 2009

« L’occasion de revisiter une quinzaine de titres incontournables (…) et de se laisser porter par la maestria de la violoncelliste Ophélie Gaillard. »
Le Républicain Lorrain, novembre 2009