Presse : Schumann-Liszt

Schumann-Liszt - Aparté, 2012

A propos de l’album :

« Ophélie Gaillard interprète le Concerto de Schumann avec beaucoup de lyrisme, utilisant un beau vibrato au service d’une émotion sincère. »
Classica, juin 2012

« Loin des angoisses existentielles du compositeur, Ophélie Gaillard en offre une lecture sage et apollinienne, baignée dans une constante lumière. L’atmosphère est judicieusement chambriste ; l’orchestre honorable, épouse le chant à la fois noble et simple de la violoncelliste française qui joue sur un splendide Francesco Goffriller de 1737. (…) Le programme propose également les pages arrangées pour violoncelle et piano de Listz au soir de sa vie. Des mélodies de jeunesses voisinent avec d’ultimes pièces énigmatiques, voire visionnaires (La Lugubre Gondole), soutenues par le piano très éloquent de Delphine Badin. »
Diapason, mai 2012

« Ce sont deux figures emblématiques du romantisme que réunit Ophélie Gaillard dans un disque d’une brulante poésie. Tout d’abord avec Schumann, dont le Concerto pour violoncelle étant considéré par le grand Pablo Casals comme « une des plus belles œuvres que l’on puisse entendre ». Ensuite avec des pièces de Liszt d’une grande délicatesse. A chaque fois, la sonorité intense et pulpeuse du violoncelle d’Ophélie Gaillard fait des miracles. »
La voix du nord, avril 2012

« Une parfaite réussite qui commence par le Concerto de Schumann, accompagné avec verve et fraîcheur par l’Orchestre de la Radio nationale de Roumanie dirigé par Tibeiru Soare. Le son onctueux et le phrasé lyrique de la soliste savent traduire le fantasque de la partition qui entraîne l’auditeur sur des chemins inattendus, doux ou plus escarpés. Avec la pianiste Delphine Bardin, Ophélie Gaillard forme un duo musical d’une rare élégance. Au toucher infiniment raffiné de la première répond la ferveur de la seconde : dans les cinq pièces de Listz qui complète l’enregistrement, des musiciennes magnifiques atteignes des sommets de beauté. On y goûte tantôt la passion d’un Liszt pétri de romantisme, tantôt la ligne épurée du compositeur incroyablement moderne des années 1880. »
La Croix, avril 2012