« (…) A ces tempos vivants, voire osés, dans lesquels beaucoup se seraient mis en danger… (…) On ne saurait conclure sans un dernier coup de chapeau à chacun des membres, sans exception, de l’orchestre qui accompagne ces deux talentueuses artistes. »
Classica, mars 2004
« Elles relèvent le défi avec crânerie, aux côtés d’une formation qui s’affirme dans le paysage baroque français au fur et à mesure de ses sorties. Mais on y apprécie une approche élégante et délicate qui ne se départit pourtant pas d’un nécessaire caractère. »
Ouest France, mars 2004
« Amarillis donne aux concertos les plus connus une nouvelle saveur. (…) la flûte est d’un allégresse inouïe (…). Les adagios des RV 401 et RV 424 sont d’une vraie profondeur de sentiment. La vivacité est intacte, présente aussi chez des complices virtuoses qui ne se laissent pas oublier (…) Sincérité, nuances franches… Un zeste d’humour affirme nettement les contrastes. S’il y a une modernité de Vivaldi, c’est celle-là, qui ouvre à la musique sa scène imaginaire, son drame, ses couleurs, sa peinture d’ombres et de contours. »
Le Midi libre, mars 2004
« Ce qui frappe ici, c’est plutôt l’empathie avec la musique de Vivaldi, si riche que son interprétation peut toujours être renouvelée .(…) Les sept concertos du Prêtre roux rassemblés ici s’y révèlent en conséquence plus magiques encore qu’à l’accoutumée. »
La Vie, mars 2004
« (…) flatté par l’élégance du discours des belles individualités solistes, par la subtilité de l’accompagnement à un instrument par partie, très étudié dans la précision apportée aux nuances dynamiques et à la palette des couleurs, par le soin aussi, du traitement de la basse continue, délicate et recherchée. »
Diapason, février 2004